Pas de recette miraculeuse… cela va vraiment dépendre de l’espèce !
Il faut bien suivre les instructions au dos du paquet de graines. Si vous avez récupéré des graines en grainothèque, vous pouvez retrouver des informations importantes avec une simple recherche sur internet avec le nom de la variété retenue. Si vous avez des graines, mais aucune idée de ce à quoi elles correspondent, c’est le moment de se faire à la fois poète et scientifique… plantez, attendez, observez, et émerveillez-vous du résultat !!
Il faut décider si on fait des semis en pleine terre ou en pot. Pour les pots, vous pouvez facilement recycler vos pots de yaourts et de compote tout au long de l’année, ou des boîtes à œufs en carton. Ces semis en pot sont adaptés pour les plantes qui craignent le gel et dont on veut allonger la durée de production (tomates, concombres, poivrons, aubergines… les légumes du Sud craignent un peu sous nos latitudes donnerysiennes !)
Pour les semis en pleine terre, ils s’adressent plutôt à tout ce qui est difficile à repiquer (c’est-à-dire remettre dans la terre après avoir laissé pousser en pot), par exemple, les radis, les carottes, les navets, les épinards…
Faut-il mettre du terreau ? Cela va surtout dépendre de l’espèce. Une fois de plus, il faut se référer au dos du paquet de graines.
Une fois semé, il faut arroser tout de suite. Et ensuite, arroser très régulièrement pour entretenir.
Les petits semis font les belles plantes ;-)
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